L'inexplicable logique derrière l'absurde
Beaucoup de plaisir des Trois Accords
Marjorie TREMBLAY
Le groupe Les Trois Accords, bien connu à travers le Québec, jouit d’une brillante réputation depuis leur premier album Gros Mammouth Album Turbo (2002), alors qu’ils sont propulsés dans l’univers artistique québécois grâce à leur chanson «Hawaïenne». Souvent incompris, leur univers déjanté charme toutefois un large auditoire, lequel ne peut s’empêcher d’être transporté par les rythmes endiablés de la formation, sur lesquels sont juxtaposées des paroles tout aussi loufoques les unes que les autres. Si les Trois Accords trouvent leur marque de commerce dans l’absurdité qu’ils transmettent à leurs morceaux, ils sortent tout de même des sentiers battus en proposant, par exemple, des pièces présentant une variété de sonorités rock comme « Le bureau du médecin » ou la légendaire « Saskatchewan ». Aux allures de balade, ce dernier titre a su gagner le cœur de leur public, qui la chante durant les spectacles avec presque autant de passion et d’ardeur que s’il s’agissait d’un hymne national. C’est par ailleurs cet élément rassembleur que vise à répandre le charismatique groupe en offrant un répertoire unique, que certains s’amusent à comparer à un «trip de gang»[1]. Leur intrépide créativité et leur imagination éclatée ne cessent de pondre de nouveaux concepts, repoussant toujours les limites de l’absurdité: métaphores qui surprennent, expressions farfelues et rythmes entraînant décrivent parfaitement le style excentrique de la formation masculine québécoise que l’on se plait à découvrir d’album en album. Leur toute dernière sortie, intitulée Beaucoup de plaisir [2], constitue d’ailleurs un retour aux sources pour le groupe qui teintait de plus en plus son répertoire de morceaux thématiques [3]. Cette fois-ci, ils renouent avec leurs racines en proposant un album complètement éclaté, sans thème récurrent et dont la seule et unique contrainte est de transmettre beaucoup de plaisir.
La pochette remplissant tout d’abord des fonctions élémentaires telles que la fonction informative et la fonction textuelle, c’est davantage au niveau des fonctions esthétiques et identitaires que la magie opère, contribuant à mettre en lumière la persona éclatée du groupe ; s’il y a bien quelqu’un pour qui le ridicule ne tue pas, c’est forcément pour les Trois Accords, formation musicale se démarquant par son excentricité assumée et son esprit tordu. Si l’objectif des Trois Accords était de pondre un album coloré, amusant et festif, ils ont frappé en plein dans le mille. Déjà, une ambiance de fête s’installe en page couverture du l’album et trahit l’intention de la formation : propager le bonheur. La pochette détonne des tons sombres présentés sur Gros Mammouth ou sur Joie d’être gai. Complètement revisité, l’univers artistique des Trois Accords offre cette fois-ci un amalgame de couleurs sur un fond neutre, focalisant ainsi le regard sur ce drôle de personnage tout vêtu de blanc et arborant un ballon de plage pour office de tête. Décoré d’un tel ballon coloré et brandissant des maracas, le personnage illustré semble représenter «le comble du party en lui-même», comme le mentionne Simon Proulx, chanteur du groupe [4]. Il suffit d’un rapide coup d’œil pour constater que la mise en scène ressemble étrangement à un lendemain de veille où l’on aurait retrouvé, couché sur la plage, un fêtard ayant profité d’une soirée bien arrosée pour danser, celui-ci empoignant toujours fermement ses maracas. Cette ambiance festive correspond tout à fait à la persona déjantée des Trois Accords, toujours à la quête de chansons loufoques. Une analyse plus approfondie de la couverture révèle d’étonnantes associations, pour ne pas dire lugubres. En effet, les plus fins observateurs pourraient constater l’étrange similitude entre la position empruntée par le personnage et les scènes de crime sur lesquelles un corps aurait été retrouvé. Tel qu’il sera démontré plus tard, l’intégration d’éléments macabres sur un album dont la thématique principale est festive et joyeuse laisse d’abord perplexe ; on découvrira que cette démarche artistique surprenante est parfaitement en accord avec le style d’écriture absurde des Trois Accords.
Enfin, en défilant les quelques pages du livret, on devine également l’identité ludique du groupe. Le personnage affublé d’une tête en ballon plage y apparaît abondamment, maracas tout près. Un peu à la manière du protagoniste de la chanson «Corinne», il lui semble impossible de résister à la danse et il s’exécute à la plage, devant un mur de lattes bleutées ou à l’avant-plan d’une façade de briques rayée de blanc et de rouge. On le voit se goinfrer de barbe à papa, se reposer sur le banc d’un sauveteur, accroupi ou les bras ballants. Puis il y a ce décor en arrière-plan : un morceau de graffiti ou de peinture d’enfants ; des licornes en peluche, prix convoités d’un quelconque jeu d’adresse ; les structures vertigineuses de montagnes russes ; un décor de parc d’attraction en somme [5]. Ce livret contribue ainsi à mettre en lumière la personnalité délibérément enfantine du groupe[6]. La police choisie pour indiquer le titre de l’album, rappelant les lettres aimantées d’un tableau pour enfants de Fisherprice, est également en accord avec cette dimension de leur identité : les lettres sont colorées et dispersées de façon inégale, un peu à la manière de pièces d’un puzzle constitué des lettres de l’alphabet qu’un enfant se serait amusé à éparpiller.
En parfaite symbiose avec la couverture, la première chanson débute sur des notes anodines pour ensuite finir par présenter ce qui ressemble drôlement à être une liste d’objets utilisés pour commettre un meurtre. De prime abord, la chanson éponyme de l’album sur laquelle on énumère une liste d’épicerie apparaît somme toute assez banale. Les premiers ingrédients mentionnés semblent réunir les éléments essentiels pour tenir une fête : «Nappes et confettis / Ballons et croustilles / Boissons qui pétillent». À première vue, rien n’apparaît anormal. Or, à mesure que progresse la chanson, les paroles deviennent de plus en plus étonnantes, laissant planer le doute sur un possible complot de meurtre. Il suffit de prendre connaissance des paroles inscrites dans le livret pour réaliser que l’ambiance change drastiquement dans la chanson «Beaucoup de plaisir», se terminant sur un champ lexical plutôt macabre : «gants de vaisselle», «sacs de poubelle», «eau de javel», «chaudière et pelle», «scie à fer», «toile de plastique», «robot culinaire», «billets pour le Mexique» laissent présager que la fête pourrait potentiellement tourner au drame [7]. Cette violence gratuite semble contrecarrer la persona légère que l’on octroie habituellement à ces rockeurs. En outre, l’antithèse créée par l’énumération d’objets douteux, servant potentiellement à commettre un crime, et le plaisir, tel que le suggère le refrain, suppose un flagrant manque de cohérence avec le titre de la chanson. Or, si l’on considère qu’une certaine agressivité dans les propos s’inscrit parfaitement dans le processus de l’écriture absurde, on réalise que la visée des paroles s’en retrouve atténuée. Par ailleurs, ce rapprochement inusité entre le crime et le plaisir qu’on peut en éprouver, si on se fie au titre de la chanson, traduit la volonté du groupe à démontrer que toutes choses s’équivalent… ou non : «On peut toucher à l’absurde pour faire des choses qui sont différentes, qui mènent à d’autres sentiments, qui sont un peu bizarres, qui nous chatouillent le cerveau de manière nouvelle...» [8]. Suivant cette «logique», il est possible de dégager une intention derrière l’absurdité que propose la chanson «Beaucoup de plaisir», où l’on semble s’amuser en s’adonnant à des activités plutôt surprenantes. Or, ce n’est qu’en analysant le vidéoclip associé à la chanson que l’on peut découvrir cette intention dissimulée. En effet, si l’on s’attarde à l’interprétation qu’en fait Simon Proulx, de même qu’au danseur qui s’agite avec les maracas, on peut croire qu’il s’agit d’une critique envers le plaisir qu’on éprouve au quotidien à pratiquer des activités d’une banalité ennuyante comme faire sa liste d’épicerie. D’abord, la tonalité empruntée par Proulx dès les premiers couplets suggère une certaine monotonie à exécuter les tâches du quotidien. Son ton, toujours aussi égal, exprime clairement de la lassitude, ce qui est plutôt ironique, considérant le titre de la chanson. Lors du refrain toutefois, l’interprète s’approprie davantage la chanson, de sorte qu’il semble enfin jouer le plaisir annoncé par l’album. Il en est de même pour le chorégraphe, lequel apparaît particulièrement ennuyé dès les premiers sons, puis semble ensuite traversé par une énergie soudaine lorsque que le refrain débute. Cette façon d’user de l’antithèse pour dénaturer le plaisir suggère d’abord une incohérence flagrante, mais ce procédé s’inscrit parfaitement dans le style absurde auquel adhère le comique quatuor.
Parmi les joyaux musicaux qu’offrent les Trois Accords, on retrouve la très surprenante chanson «Rebecca». De manière plutôt incohérente, le groupe propose une déclaration amoureuse sur fond musical très métallisé, se détachant ainsi des stéréotypes selon lesquels l’amour est synonyme de tendresse. Rien de moins, toutefois, n’aurait pu être attendu des artistes à la fibre humoristique prononcée. En effet, il apparaît tout à fait légitime de traiter d’une thématique amoureuse avec autant d’agressivité dans la sonorité lorsqu’il s’agit des Trois Accords. Cette façon peu délicate qu’ils ont d’aborder les choses contribue toutefois à l’image peu engagée, voire désinvolte que renvoie le sympathique quatuor. On ressent d’ailleurs un réel besoin de ne communiquer aucune leçon dans l’album Beaucoup de plaisir, dont la principale visée est de «lâcher son fou», comme cette expression québécoise ne saurait mieux le décrire. La chanson «Rebecca» illustre parfaitement la légèreté souhaitée par cet album dépourvu de fil conducteur. Lorsqu’on porte une attention particulière aux paroles véhiculées, on comprend que le contexte dans lequel la déclaration d’amour est effectuée est tout à fait dérisoire. La métaphore utilisée par le personnage pour avouer ses sentiments amoureux à Rebecca est ridiculement maladroite : «Rebecca, mon cœur est une plante / Qui pousse mieux dans un jardin / Rebecca, le planteras-tu dans le tien?». Le rapprochement entre le cœur et la plante, bien qu’ingénieux, contribue grandement à la dimension humoristique de la chanson. C’est d’ailleurs par cette drôle d’analogie que se dévoile le caractère absurde typique des Trois Accords. Le comble de la stupidité est atteint alors que le pauvre garçon supplie Rebecca de lui accorder une place dans son cœur de manière totalement hilarante : «Transplantation d’urgence / Rebecca prend mon cœur / Transplantation d’urgence / J’ai besoin d’un tuteur». Ce passage suggère effectivement une urgence d’agir, comme si son cœur allait arrêter de battre dans les prochaines minutes. L’hyperbole employée pour illustrer le désespoir du jeune homme est particulièrement intéressante, dans la mesure où ce procédé stylistique est couramment utilisé dans l’écriture absurde. En ce qui a trait à l’interprétation qu’en fait Simon Proulx, on ne peut que souligner, encore une fois, ses remarquables talents d’interprète. En effet, celui-ci semble lui-même traversé par le sentiment d’urgence traduit par les paroles et la musique puisque son ton devient de plus en plus pressant à mesure que la situation approche d’un point critique. En outre, on note une augmentation de l’intensité de la voix, qui accompagne parfaitement le contexte de la chanson.
L’analyse de la chanson «Ouvre tes yeux Simon!» relève également d’intéressantes informations sur la démarche stylistique empruntée par les Trois Accords pour l’album Beaucoup de plaisir. Par ailleurs, elle est la toute première chanson «autobiographique» réalisée par Simon Proulx puisqu’elle raconte exactement la façon dont il chante sur scène, c’est-à-dire avec les yeux fermés [9]. L’anecdote est exploitée à son plein potentiel, car c’est également la première fois que le groupe chante le refrain à la place de Simon. Cette inversion des rôles correspond tout à fait au contexte anecdotique du morceau qui, au-delà de sa dimension humoristique, présente aussi un degré davantage personnel. En effet, la chanson «Ouvre tes yeux Simon!» ne raconte pas uniquement l’histoire d’un chanteur plutôt timide qui préfère garder les yeux fermés sur scène : elle illustre aussi la gratitude qu’éprouve le groupe à l’égard de leurs fans qui les suivent depuis des années déjà. Une analyse plus approfondie des paroles permet par ailleurs de déceler ce message de reconnaissance[10]. Les vers suivants illustrent l’intention des Trois Accords de remercier leur public pour son éternelle fidélité : «Quand j’ouvre les yeux, je vois la beauté qui m’entoure / Je croise plein de regards, je reçois plein d’amour». Tel que l’a lui-même souligné Simon Proulx, cette chanson en est une «de reconnaissance par rapport à tout ce qu’on a et à toutes les belles choses qu’on vit» [11]. Par cette pièce métaphorique, le groupe souhaite ainsi exprimer son désir de profiter de l’instant présent et de savourer chaque moment passé sur scène. En revanche, les Trois Accords, fidèles à leur habitude, se sont bien assurés de ne pas verser dans les sentiments, ponctuant le texte de quelques hyperboles et répétitions, marquant ainsi la signature humoristique du groupe. Lorsque Simon évoque les bienfaits que lui procure l’absence de vision, il use d’une figure d’amplification pour traduire ses émotions : «c’est comme de la confiance en aérosol». Une telle image ne saurait mieux décrire la personnalité atypique, mais attachante des Trois Accords : en dépit du fait qu’il est évidemment impossible de renfermer de la confiance dans un contenant, rares sont ceux qui en possèdent tellement qu’ils ont le loisir d’en faire des réserves pour ensuite la propager dans l’air. L’absurdité de la situation énoncée, bien que totalement improbable, a le mérite de susciter le rire chez qui veut l’entendre. Dans une certaine mesure, l’hyperbole sélectionnée contribue aussi à mettre en lumière la relation privilégiée qu’entretient le groupe avec ses fans. Voilà un joli problème que de recevoir tant d’appréciation de son public et ne plus savoir que faire de la confiance qui en découle! Sur une autre note, il convient de souligner, encore une fois, l’interprétation marquée de Simon Proulx : cette fois, il incarne véritablement la pièce, ce qui peut sembler tout à fait naturel considérant qu’elle décrit sa propre attitude sur scène. Question de demeurer fidèle au portrait qu’il dresse de lui-même, l’interprète conserve les yeux fermés toute la durée du morceau et ce n’est que lorsque que les paroles le mentionnent qu’il ouvre enfin les yeux, jouant l’euphorie en constatant «la beauté qui [l]’entoure».
Pour terminer, si le nom de groupe choisi par les Drummondvillois suggère d’abord une certaine simplicité, il en est tout autrement en réalité : «[…] si Les Trois Accords peuvent aborder la chanson sous un angle décalé et parfois un peu absurde, ils sont musicalement rigoureux. Et d’une dangereuse efficacité sur scène!» [12]. L’ingéniosité et la rigueur musicale dont ils font preuve témoignent en effet de leur professionnalisme et de leur crédibilité. Cela se manifeste également dans la qualité des œuvres proposées au courant de leur carrière musicale, lesquelles s’avèrent toutes plus brillantes et rythmées les unes que les autres. La recherche instrumentale est d’ailleurs si poussée que même les détails les plus anodins ont été judicieusement réfléchis, y compris sur l’album Beaucoup de plaisir : c’est ainsi que la cloche à vache [13] a été incorporée à la liste d’instruments contribuant à créer une atmosphère festive sur l’album Beaucoup de plaisir. Tout compte fait, si les Trois Accords ont pour objectif de partager une musique éclatée, instinctive et imaginative, on peut dire que c’est inévitablement mission réussie. On prend plaisir à savourer les paroles incohérentes mais parfois pleines de sens qu’offrent les chansons de l’album étudié. Le morceau «Tout le monde capote» présente justement un bel exemple de cette absurdité signifiante. Une série de demandes toutes plus extravagantes les unes que les autres sont énumérées sur un rythme musical enivrant par un artiste vraisemblablement exigeant : «Je veux me confier assis sur la balançoire de ma cage / Je veux qu’autour il y ait un décor de coquetel dînatoire avec des bouchées fines / Je veux un plancher entièrement fait d’articles de magazines». La répétition («je veux»), l’hyperbole et l’ironie sont des figures privilégiées par Proulx qui ramènent inévitablement à l’absurde, à nouveau, mais on y dénonce en fait les quelques membres du «jet-set» québécois qui profitent un peu trop de leur position de vedette. Cette inexplicable logique de l’absurde est certes la marque des Trois Accords.
[1]Mathieu AUBRE. « On se fait beaucoup de plaisir avec les Trois Accords », dans Urbania, 1er novembre 2018 [En ligne] https://urbania.ca/article/se-fait-beaucoup-de-plaisir-avec-les-trois-accords (page consultée le 23 avril 2021).
[2] LES TROIS ACCORDS. Beaucoup de plaisir, La Tribu, 2018. (Toutes les paroles de chansons sont tirées de cet album)
[3] Geneviève BOUCHARD. « Les Trois Accords : le sens des paroles », dans Le Soleil, 9 mars 2019, p. 1, M12.
[4] Raphaël GENDRON-MARTIN. « Les Trois Accords s’éclatent », dans Le Journal de Montréal, 3 novembre 2018, p.21.
[5] Les photos ont été prises à Coney Island, dans l’État de New York, réputé longtemps pour ses parcs d’attractions («On a fait une séance de photos à Coney Island, alors que j'étais de passage à New York» ; Simon Proulx, cité dans Karine TREMBLAY. « Fun en tête », dans La Tribune, 3 novembre 2018, p.W4 et W5).
[6] Louis-Philippe LABRÈCHE. « Beaucoup de plaisir », dans Le canal auditif, 14 novembre 2018 [En ligne] https://lecanalauditif.ca/critiques/les-trois-accords-beaucoup-de-plaisir/ (page consultée le 27 avril 2021).
[7] Josée LAPOINTE. « Dans le train des Trois Accords », dans La Presse +, 5 novembre 2018 [En ligne] https://plus.lapresse.ca/screens/b2667262-e4d2-42d7-a0e5-c42f01451735__7C___0.html (page consultée le 2 mai 2021).
[8] Simon Proulx, cité dans Geneviève BOUCHARD. « Les Trois Accords : le sens des paroles », op.cit.
[9] Raphaël GENDRON-MARTIN. « Les Trois Accords s’éclatent », op.cit.
[10] Geneviève BOUCHARD. « Les Trois Accords : le sens des paroles », dans Le Soleil, op.cit.
[11] Ibid.
[12] Geneviève BOUCHARD. « Les Trois Accords : beaucoup de plaisir, en effet! », dans Le Soleil, 16 mars 2019, p.12.
[13] Benoît POIRIER. « Les Trois Accords. Beaucoup de plaisir », dans VOIR, 6 novembre 2018 [En ligne] https://voir.ca/albums/les-trois-accords-beaucoup-de-plaisir/ (page consultée le 17 mai 2021).
© La Tribu
© La Tribu
MÉDIAGRAPHIE
Album étudié
LES TROIS ACCORDS. Beaucoup de plaisir, La Tribu, 2018.
Sur les Trois Accords
AUBRE, Mathieu. « On se fait beaucoup de plaisir avec les Trois Accords », dans Urbania, 1er novembre 2018 [En ligne] https://urbania.ca/article/se-fait-beaucoup-de-plaisir-avec-les-trois-accords.
BOUCHARD, Geneviève. « Les Trois Accords : beaucoup de plaisir, en effet! », dans Le Soleil, 16 mars 2019, p.12.
______________________. « Les Trois Accords : le sens des paroles », dans Le Soleil, 9 mars 2019, p. 1, M12.
GENDRON-MARTIN, Raphaël. « Les Trois Accords s’éclatent », dans Le Journal de Montréal, 3 novembre 2018, p.21.
LABRÈCHE, Louis-Philippe. « Beaucoup de plaisir », dans Le canal auditif, 14 novembre 2018 [En ligne] https://lecanalauditif.ca/critiques/les-trois-accords-beaucoup-de-plaisir/.
LAPOINTE, Josée. « Dans le train des Trois Accords », dans La Presse +, 5 novembre 2018 [En ligne] https://plus.lapresse.ca/screens/b2667262-e4d2-42d7-a0e5-c42f01451735__7C___0.html.
POIRIER, Benoît. « Les Trois Accords. Beaucoup de plaisir », dans VOIR, 6 novembre 2018 [En ligne] https://voir.ca/albums/les-trois-accords-beaucoup-de-plaisir/.
TREMBLAY, Karine. « Fun en tête », dans La Tribune, 3 novembre 2018, p.W4 et W5.
WIKIPÉDIA. « Les Trois Accords », dans Wikipédia [En ligne] https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Trois_Accords.