Un authentique et inépuisable rêveur
Les horizons nouveaux de Richard Séguin
Karianne BRADET et Nadia MURRAY
Richard Séguin connait une exceptionnelle carrière, fondée en partie sur son authenticité et son amabilité. «Fils spirituel» des célèbres Félix Leclerc et Gilles Vigneault[1], il a su faire sa place dans le monde de la musique en tant qu’auteur-compositeur-interprète. Richard Séguin est né à Pointe-aux-Trembles dans la région de Montréal, le 27 mars 1952. Plusieurs membres de sa famille sont passionnés par la musique et c’est d’ailleurs en compagnie de sa sœur, Marie-Claire, qu’il débute sa carrière. Ils feront partie des groupes Les Nochers et La Nouvelle Frontière avant de se présenter en tant que duo, Les Séguin. En 1977, ils se séparent selon un accord commun et Richard Séguin entreprend une collaboration avec Serge Fiori, ancien chanteur du groupe Harmonium. Deux ans plus tard, il commence sa carrière en tant que chanteur solo. Ayant plus d’une dizaine d’albums à son actif, il fait paraître en 2016 Les horizons nouveaux. C’est après une longue pause de cinq ans qu’il publie cet album, confiant en entrevue «qu'il est important de se laisser désirer un peu, de ne pas toujours être sous les feux de la rampe. Savoir se retirer pour mieux revenir.»[2] Onze chansons se retrouvent sur l’album, qui lui a d’ailleurs permis d’être nominé en 2016 au Gala ADISQ pour l’album folk de l’année. On retrouve sur Les horizons nouveaux ce qui a fait de Séguin, depuis plus de cinquante ans, un authentique et inépuisable rêveur. On peut notamment en être témoin en étudiant la pochette, la musique et les sujets qu’il aborde sur l’album.
Jetons d’abord un coup d’œil à la pochette de l’album. On peut observer des photos de Richard Séguin dans toute son authenticité, d’abord grâce aux vêtements qu’il porte. En effet, ils sont à son image, sans exubérance : il est simplement habillé d’une veste en jeans, d’un chandail et d’un pantalon noirs. On note aussi que les photographies sont toutes en noir et blanc, ce qui contribue à cette sobriété de la pochette. Par ailleurs, elles témoignent d’une grande véracité de l’artiste alors qu’il se présente tel qu’il est, n’ayant pas peur de montrer son âge.
Comme la plupart de ses autres œuvres, on voit Séguin en harmonie avec la nature. On peut en traduire que celle-ci est importante pour lui et qu’il s’intéresse à ce qui l’entoure. L’endos de la pochette montre Richard Séguin qui s’en va paisiblement au loin, un rayon de soleil passant à travers les arbres. Le paysage est tranquille et il ne semble y avoir aucune perturbation, la nature semble être un lieu pour se ressourcer. Dans cette optique, en couverture du livret, on peut voir une photographie de Séguin composant des chansons vis-à-vis une fenêtre qui donne une vue sur les montagnes, paysage qui peut apporter de l’inspiration à n’importe quel artiste.
Dans ce livret, on peut lire les paroles des onze chansons de l’album. Outre les photographies, l’intérieur du livret est complètement orange et des lignes blanches parcourent les pages orangées. Sur les feuilles des premières chansons, les lignes qui s’y trouvent sont linéaires alors que plus loin dans le livret, c’est plutôt un tas de lignes qui vont dans tous les sens comme si on avait froissé le papier. Cela peut évoquer le désordre dans les idées de Séguin ou le manque d’inspiration lorsqu’il a composé ces chansons. C’est un peu comme si ces pages illustraient le processus de création, laissant paraître avec franchise les difficultés vécues par l’auteur-compositeur-interprète.
En somme, tout de la pochette fait ressortir une persona naturelle, authentique.
Dans cette œuvre, Séguin conserve ses racines folk, genre musical qui est en soi une façon de rendre ses chansons encore plus humaines, car le folk est connu pour être un genre musical souvent considéré comme le plus authentique. Sur l’album, on remarque ainsi une instrumentation très simple et non amplifiée qui est, la plupart du temps, composée seulement de la guitare acoustique ou d’instruments associés au folk (mandoline, banjo, harmonica). Cette caractéristique permet de mettre la dimension textuelle à l’avant-plan, le genre folk ayant «toujours véhiculé des textes puissants»[3]. Malgré cette simplicité du genre musical dominant, la musique donne à certains moments beaucoup de relief aux chansons. Par exemple, au début de la chanson «Au bord du temps», la musique est douce pendant que Séguin raconte une histoire à sa petite fille. Au fur et à mesure que l’histoire avance, les paroles évoquent une réalité davantage cruelle : «Comment lui dire la déchirure et la poussière / le ciel qui s’ouvre et qui s’écrase dans la rue». On peut alors constater que la musique augmente de tonalité et que d’autres instruments s’ajoutent à la guitare, comme le violoncelle et les percussions. Cet effet donne vraiment l’impression que l’histoire devient plus tragique. L’exemple de la musique de la pièce « Tant qu’y en a » est aussi intéressant : la chanson a une tonalité plutôt blues, un genre musical qui, souvent, est associé à la protestation, le blues étant la musique de ces Noirs contestant leur sort d’esclave. Dans la chanson de Séguin, le blues accentue sa critique concernant l’abus des ressources de la planète et la surconsommation, le genre musical rend sa pensée plus virulente : «Tant qu’y en a, on va tout prendre / le territoire, le ciel au-dessus / la terre fripée pis c’qui a en dessous».
Richard Séguin possède une voix plutôt apaisante, qui force la confidence et inspire la confiance. Cette voix singulière est mise en avant aussi bien dans les couplets que dans le refrain, l’instrumentation étant très subtile et simple. Parfois, cette voix principale est accompagnée de voix masculines, comme c’est le cas dans la pièce « Roadie », où Vincent Vallières et Patrice Michaud se joignent à Séguin ; ce sont tous deux des artistes reliés au folk qui concordent avec l’auteur-compositeur-interprète les ayant probablement influencés eux-mêmes. On entend aussi à certains moments une voix féminine, celle de Myëlle, autre autrice-compositrice-interprète, qui se joint à celle de Séguin pour créer une harmonie tout en douceur et une sorte d’écho dans la voix de l’homme. Lorsque ces diverses voix se joignent à la voix principale, on peut penser que l’interprétation souligne un élément de la chanson : par exemple, les voix en chœur lors du refrain de «Roadie» viennent accentuer l’hommage que rend Séguin à ces travailleurs de l’ombre qui lui donnent «Tout ce temps / tout ce temps à rouler / tout ce temps». D'ailleurs, dans le vidéoclip, toutes les voix sont ainsi à l’unisson alors qu’on voit les techniciens, ces fameux «roadies», effectuer leur travail. Par ailleurs, les voix féminines et les chœurs, dans le genre folk, sont souvent utilisés pour donner davantage d’harmonie dans l’interprétation, que l’on pense à Beau Dommage, aux sœurs Boulay ou aux Séguin.
Dès le titre de l’album, Les horizons nouveaux, le ton est donné : l’expression porte du neuf, revendique du changement. Dans la chanson «Les vents contraires», on propose de revenir à la simplicité dans ce monde où tout va trop vite et où les gens ne se rendent plus compte de la beauté du monde : «Suivre le chantier / Voir les feuilles tombées / Entendre le monde qui chante». Le «monde qui chante», ici, fait référence, par métonymie, aux bruits de la nature : on passe totalement à côté en étant trop dans nos pensées. Séguin souhaite retrouver «du bonheur» et contrarier «les solitudes», lit-on au troisième couplet. «Les vents contraires» met d’ailleurs en scène quelqu’un qui n’est plus heureux, car il a le «cœur en buée» : la métonymie apportée par «la buée», qu’on peut associer aux larmes, laisse paraître son immense tristesse, sentiment monopolisant son cœur, siège des sentiments.
Le titre «Les vents contraires» laissent ainsi entendre que le monde doit changer, que l’espérance doit revenir, à l’image d’un vent fort qui balaie et qui fait place à autre chose. On pourrait même aller jusqu’à dire que, dans cette pièce, le protagoniste rêve d’un monde sans chagrin où les gens cessent de se faire du mal entre eux pour rien : «Retrouver les mots qui font du bien / Retrouver la paix sans les chagrins». Le terme «retrouver» signifie qu’on a déjà eu cette paix et qu’il fut un temps où le monde était meilleur. Il est nostalgique de sa vie d’antan, la joie qu’il avait autrefois lui fait défaut ; on y aborde donc le temps qui passe, «qui s’efface comme l’eau au creux des mains» et qui s’écoule sans qu'on ne puisse arrêter son cours. Le personnage semble aussi un peu désemparé : en effet, il dit d’un côté vouloir être seul pour «Entendre le silence» et d’un autre côté, il souhaite entendre le monde : «Écouter les voix». Ces deux vers témoignent d’une antithèse entre le silence et le bruit : on aimerait que les «vents contraires» changent les paysages pour qu’on entende à nouveau le silence mais sans tout à fait en perdre les voix.
«Quand on ne saura plus chanter» aborde également la nostalgie et les sentiments qu’elle draine. On y raconte la vie d’une personne qui, en vieillissant, a de la difficulté à se rappeler de sa vie antérieure et est nostalgique de celle-ci. Chaque couplet représente un moment de sa vie : les deux premiers, l’enfance, le troisième, ce qui semble être l’adolescence, et les deux derniers, la vie adulte. On peut traduire l’époque de son enfance par les vers : «quand on lançait des pierres au loin / qu’on s’dépêchait pour voir le train». Ces deux actions constituent en effet des jeux qu’on fait lorsqu’on est enfant : lancer des galets dans l’eau pour voir combien de bonds ils feront ; courir pour voir le train passer et lever le bras pour saluer les gens à bord ou encore encourager le chauffeur à laisser entendre son klaxon. Un autre vers du deuxième couplet peut aussi rappeler l’enfance : «ti-culs peureux au coin de la rue». Dans ce cas-ci, les enfants sont représentés par le terme «ti-culs», terme populaire employé au Québec pour désigner un gamin, un jeune enfant ; ces êtres naïfs qui sont mis en scène révèlent de la nostalgie. Ensuite, dans le troisième couplet de «Quand on ne saura plus chanter», on aborde l’adolescence, cette époque charnière où l’on découvre la souffrance. L’expression «les yeux vidés» signifie sûrement que le personnage a beaucoup pleuré et qu’il n’y a plus aucune larme restante dans ses yeux ; il semble avoir eu son premier chagrin, sa première peine d’amour. Il confiera que «c’est Miron qui m’a sauvé», laissant entendre que la poésie lui a permis de surmonter les épreuves. Sachant l’influence qu’a eue la poésie de Gaston Miron chez Séguin (il a participé au projet Douze hommes rapaillés en hommage au poète québécois[4]), la chanson prend une teinte autobiographique. Finalement, les deux derniers couplets de la pièce traitent de la vie adulte et de la vieillesse qui commence à se faire sentir. On évoque des moments où il a fallu compter l’un sur l’autre, «quand coude à coude on est resté / quand l’espoir nous tenait serrés». On fait ici référence à la vie de couple et à la complicité qui pousse à toujours rester ensemble, quoi qu’il arrive. À la fin, on retrouve l’expression «mémoire-fleuve», évoquant toujours la vieillesse, cette période de la vie où l’on a accumulé énormément de souvenirs qui, comme un fleuve, s’écoulent et finissent par disparaître.
Fidèle à sa persona, Richard Séguin rédige aussi des pièces engagées. Dans la chanson «Au bord du temps», il évoque un sujet d’actualité, celui des réfugiés syriens. Il confie en entrevue avoir écrit cette chanson dans une intention bien particulière : «C’est ma petite-fille de 10 ans, un jour, qui m’a demandé si les réfugiés syriens venaient ici pour faire la guerre. Avec toutes les images des attentats qui ont été diffusées dernièrement, les choses étaient confuses dans sa tête. J’ai donc décidé de répondre à ses questions dans une chanson»[5]. Cette pièce met donc en scène ces hommes et ces femmes nouvellement arrivés qui ont vécu la guerre au quotidien : «qu’ils ont la nuit pour seul répit / quand ils finissent par s’endormir». C’est dire qu’ils sont tellement bouleversés par ce qu’ils ont vécu qu’ils ne peuvent s’endormir alors même qu’ils sont épuisés. La pièce laisse ainsi entendre qu’ils ont dû fuir la «terre qui gronde» : cette personnification dresse une ressemblance entre leur pays et une bête dangereuse qui «gronde», faisant référence aux incessants et puissants bombardements qui ébranlent le sol et menacent leur existence.
Fuyant ce pays, les personnages deviennent de «pauv’ radeaux du désespoir», métonymie qui rappelle l’aventure périlleuse qui les attend lorsqu’ils quittent leur terre natale au large de la mer Méditerranée à bord d’embarcations de fortune. L’image du «radeau» accentue leur drame : un radeau suit le cours de l’eau qui le porte au hasard, sans destination précise, tels ces réfugiés qui fuient sans savoir où ils accosteront. La chanson se clôt toutefois sur une note plus lumineuse : ils pourront «se réveiller dans la clarté». Ce passage évoque un nouveau jour, lumineux, qui vient clore cette longue «nuit» sombre ; ce vers laisse ainsi planer de l’espoir. C’est d’ailleurs dans cette chanson qu’on peut retrouver les mots qui ont inspiré le titre de l’album, «Les horizons nouveaux» : ce nouvel horizon, c’est en ce sens cette terre qui les accueille au terme de la pénible traversée.
On retrouve aussi de l’engagement dans la chanson «Roadie», pièce qui met à l’avant-scène ces «roadies» qui constituent en quelque sorte d’autres oubliés qui sillonnent les routes. Le «roadie» est un technicien de scène qui accompagne un artiste en tournée ; ces hommes, ces femmes qui travaillent la plupart du temps dans l’ombre sans que personne ne les remarque. La pièce tente ainsi de rendre hommage à ceux et celles qui travaillent loin des projecteurs, «derrière le follow», et qui ne cherchent absolument pas à être remarqués, ni félicités, se contentant de faire leur boulot : «Il peut parler de tout /mais parle peu de lui / les vrais rockers / n’ont jamais eu d’micros». Par l’expression «vrais rockers», on fait référence à ces techniciens qui s’occupent de tout : même s’ils ne sont pas à l’avant-scène, qu’ils n’ont «jamais eu d’micros», ce sont d’authentiques artistes, ils possèdent eux aussi l’âme des véritables rockeurs. En somme, comme le relate Séguin en entrevue, ces roadies ont un rôle de premier plan lors d’un spectacle : «Quand je pars en tournée, tout le monde donne son avis. Souvent, c’est mon éclairagiste et mon technicien du son qui vont m’aider à déterminer l’ordre des chansons présentées»[6].
La pièce illustre le quotidien des roadies, un quotidien qui n’est pourtant pas toujours glorieux : les journées sont longues, le boulot débutant largement avant la tenue du spectacle et se prolongeant bien au-delà de l’événement. Souvent, les roadies sont seuls, laissés à eux-mêmes lors des longs voyages qui les portent en tournée. Dans les paroles, on traduit cette solitude en évoquant «un silence infini» ; on image la durée du trajet tel «un siècle [qui] s’est écoulé». Par ces termes («infini» et «siècle»), le temps se dilate et s’étire, de la même manière que la route à parcourir et, en un sens, le boulot à abattre. Le vidéoclip réalisé pour cette chanson rend compte de cette réalité de la vie de tournée. Ce clip s’ouvre sur l’image d’un camion poursuivant sa route malgré les intempéries. Par la suite, on peut apercevoir Séguin jouer de l’harmonica et tous ses techniciens s’activer, à l’arrière-plan, pour monter la scène. Or, malgré les tâches, malgré le temps qu’ils y consacrent, on peut les voir rire ensemble, comme les membres d’une famille qui se retrouvent entre deux corvées. La vie de roadie, comme celle des réfugiés, devient alors plus lumineuse, teintée de cet idéalisme cher à Séguin.
Finalement, dans Les horizons nouveaux, on perçoit le côté très humaniste de Richard Séguin, alors qu’il refuse qu’on perce «ses coffres de merveilles», qu’on piège «la grande bête d’être libre», tel qu’il le dit dans l’ultime pièce de cet album, «Dans le désir du monde». Son univers artistique, depuis toutes ces années, repose sur cette conception de l’art chère aux artisans du folk : faire des œuvres qui reflètent une vision du monde authentique, où Séguin s’évertue à éveiller les consciences à l’égard de la nature, comme dans «Les vents contraires» ou «Tant qu’y en a», ou à l’égard de l’humanité, tel que dans les pièces «Quand on ne saura plus chanter», «Au bord du temps» ou «Roadie». Parfois, on a d’ailleurs l’impression que la source d’idéalisme de Séguin est intarissable… Or, il semble que l’album Les liens, les lieux, qu’il fait paraître en 2022, dénote un état d’esprit un peu différent : «Cela s’entend, l’homme épris d’humanité, le tenace des tenaces, a l’espoir plus que jamais ténu».[7] Inépuisable ?
[1] Richard SÉGUIN. « Biographie », sur le site Richard Séguin [En ligne] https://richardseguin.com/ (site consulté le 25 mars 2022).
[2] Anik MOULIN. « Richard Séguin, le grand et ses nouveaux horizons », Radio-Canada [En ligne] 20 avril 2016. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/777087/richard-seguin-album-nouveaux-horizons-vieillesse (site consulté le 1er avril 2022).
[3] Michka ASSAYAS, sous la direction de. Le Nouveau Dictionnaire du rock, Paris, Robert Laffont, 2014, p.623.
[4] Olivier ROBILLARD-LAVEAUX. « Douze hommes rapaillés : Le mémorable », dans VOIR, 6 août 2009 [En ligne] https://voir.ca/musique/2009/08/06/12-hommes-rapailles-le-memorable/ (document consulté le 14 septembre 2022).
[5] Vanessa GUIMOND. « Un album empreint d’espoir », dans Le Journal de Montréal, 17 avril 206 [En ligne] www.journaldemontreal.com/2016/04/16/un-album-empreint-despoir (document consulté le 14 avril 2022).
[6] Ibid.
[7] Sylvain CORMIER. « Même lui », dans Le Devoir, 3 septembre 2022, p.LED11.
© Spectra
© Spectra
© Spectra
© Spectra
MÉDIAGRAPHIE
Album étudié
SÉGUIN, Richard. Les horizons nouveaux, Spectra Musique, 2016.
Sur Richard Séguin
AUDIOGRAM. Richard Séguin [En ligne]. https://www.audiogram.com/artistes/richard-seguin/.
BOUCHARD, Geneviève. « Richard Séguin : chaleur et humanité », dans Le Soleil, 20 octobre 2016, p. 36.
CENTRE CULTUREL DESJARDINS. « Richard Séguin » [En ligne] https://www.spectaclesjo liette.com/spectacles/richard-seguin.
CORMIER, Sylvain. « Même lui », dans Le Devoir, 3 septembre 2022, p.LED11.
CÔTÉ, Claude. « Richard Séguin : rêves, récolte et solidarité », dans SOCAN [En ligne] 13 septembre 2016. https://www.magazinesocan.ca/features/richard-seguin-reves-recolte-et-solidarite/.
GUIMOND, Vanessa. « Un album empreint d’espoir », dans Le Journal de Montréal, édition du 16 avril 2016, p. 2.
MOULIN, Anik. « Richard Séguin, le grand et ses nouveaux horizons », Radio-Canada [En ligne] 20 avril 2016. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/777087/richard-seguin-album-nouveaux-horizons-vieillesse.
QUÉBEC INFO MUSIQUE. Richard Séguin [En ligne] http://www.qim.com/artistes/biographie.asp?artistid=13.
SPECTRA MUSIQUE. « Richard Séguin présente Les horizons nouveaux », Spectra Musique [En ligne] https://www.spectramusique.com/artistes/nouvelle.aspx?idN=244 &idA=46.
SÉGUIN, Richard. Richard Séguin [En ligne] https://richardseguin.com/.
WIKIPEDIA. Richard Séguin [En ligne] https://fr.wikipedia.org/wiki/RichardS%C3%A9guin#LesS %C3%A9guin.